Avec une vie professionnelle entièrement consacrée aux financements de projets innovants, dont vingt cinq ans dans le Capital Innovation, il y a les rêves qu’on ne fait plus et ceux qu’on fait encore.

Avoir sorti une idée d’un laboratoire et l’avoir accompagnée au stade d’une entreprise de plus de mille personnes. C’est à partir de ce type d’expériences qu’on se passionne pour ce métier, pour les renouveler.

Les excellentes idées ne sont pas toujours spectaculaires ni les porteurs de projets toujours prêts. Et s’il y a une part de chance dans ce métier du Capital Innovation, elle est là : identifier avant les autres l’innovation de rupture, qu’on est soit même prêt à porter. De temps en temps tout capital risqueur peut passer à côté.